mercredi 22 juin 2016
Un nouveau logo pour le collège
Puisque le collège se réforme, il était temps d'avoir un nouveau logo. M. Dojka, président du FSE, a organisé un concours : les élèves étaient invités à déposer leur proposition de logo puis le FSE organisait un vote pour élire celui qui plaisait à la majorité.
Challenge Meccano
Deux
équipes du collège ont participé au concours « challenge Meccano
» : l'équipe des Construccanos, composés des élèves suivants,
Gwenaëlle Potier, Alexandre Kwita, Samuel Baesen, Axel Petit, Iwan
Queric et Alexandre Sadeq et l'équipe des Meccabronzés, composés
des
élèves suivants, Anthony Lefebvre, Rémy Dupuis, Erine Gaillet,
Marie Laure Boudry, Marina Decourrière et Quentin Podsadny.
Chaque
équipe s’est vue remettre un pack de 2 boites de Meccano pour
réaliser leur objet.
Le
concours consiste en :
- la réalisation d’un modèle original incluant un ou plusieurs mécanismes motorisés de “ transformation du mouvement”,
- un décor mettant en scène le modèle,
- la réalisation d’un diaporama ou d’une vidéo.
Les
élèves ont travaillés sur leur projet du mois de décembre au mois
d’Avril à raison d’une heure par semaine.
Plus
de cent équipes étaient inscrites mais seulement 28 ont été
jusqu’au bout.
Le
jury s’est réuni le 17 mai 2016 et a retenu 9 équipes gagnantes
parmi lesquelles figurait l’équipe des Construccanos pour la
réalisation de leur “Meccapoussette”.
L’équipe des
Meccabronzés s’est vue remettre un prix spécial d’originalité
pour leur “Héliphérique”.
Les
équipes gagnantes ont été invitées à une cérémonie le 1er juin
à Calais.
Les
élèves ont pu exposer leur réalisation . Ils ont participé à des
ateliers ludiques, un buffet dînatoire a été servi le midi et
chaque élève s’est vu remettre une belle boite de meccano.
Le 17 juin, les équipes du Valenciennois ont été invitées à présenter leur réalisation lors de l’événement “les bravos de l’industrie”à la salle des Tertiales de Valenciennes.
lundi 6 juin 2016
Carine Musel, une artiste paysagiste au collège
La rencontre
Dans le collège Saint-Exupéry d’Onnaing, une
artiste paysagiste qui se nomme Carine Musel a rencontré quatre
classes de 4ème, les 4èmes
Australie, Salomon, Samoa et Fidji, avec leurs professeurs, M. Ramboux et Mme Dutilleul, le jeudi 3 mars de 9h30 à 11h
en salle polyvalente. Son but était de nous
informer sur son métier de paysagiste et ses connaissances.
Pour
nous préparer à cette rencontre, mes camarades et moi lui avons destiné un questionnaire en classe pour en connaître davantage à son sujet. Sofia lui a
par exemple demandé depuis combien de temps elle exerçait son métier… Et elle
nous a répondu qu’elle exerçait son métier depuis 7 ans en tant que
professionnelle. Puis Thomas s’est empressé de lui demander :
« Pourquoi avez-vous décidé d’être paysagiste ? » Et, à notre
grande surprise, elle nous a dit qu’à notre âge elle ne voulait pas devenir une
paysagiste. C’est grâce à ses professeurs de philosophie et d’arts entre autres
qu’elle est devenue ce qu’elle est aujourd’hui. Ensuite, Emeline a pris la
relève et lui a fait remarquer que sa photo sur le site Linked In la présentait
tête baissée… Carine Musel nous a expliqué qu’elle était timide et qu’elle
voulait surtout qu’on l’on l’imagine. Il faut représenter dans une photo de
profil le travail non la personne. Pour elle, les liens entre poésie et paysage
sont très forts. Et enfin un autre élève très sympathique lui a demandé :
« Quelles sont vos sources d’inspiration ? » Elle nous a annoncé
avec une grande aisance que tout ce qu’elle voit dans la journée l’inspire :
un mur blanc, un écran bleu, une montagne, un tableau découvert dans un musée !
J’ai aimé cette rencontre avec Carine Musel car juste après j’avais un
DS de latin et cela m’a permis de décompresser et je pense que notre prochaine
séquence parlera de paysage romantique... Carine Musel nous a aidés à mieux
définir le romantisme. Quant à l’artiste, elle exerce ce métier non pas pour
l’argent… mais pour faire rêver les gens !
Yacine et Thomas.
Quelques autres élèves de 4ème
Fidji témoignent :
Carine pense que le réchauffement climatique est
catastrophique… D'après elle, un artiste et un paysagiste peuvent agir contre
la pollution… Si tout le monde agissait un peu et changeait ses habitudes
quotidiennes, il y aurait de réels changements ! Carine Musel nous a
appris que toute chose peut être poétique.
Cette rencontre a
été très agréable car elle nous a parlé de son métier qui est rare… Elle est la
seule street artiste paysagiste !
Liza.
« Faut-il être
bon en dessin ? »… Carine Musel nous a fait comprendre que cela
n’était pas spécialement nécessaire !
J’ai vraiment
apprécié cette rencontre avec Carine Musel. Elle s’est montrée très très
gentille de nous recevoir. Elle a même accepté de nous montrer des croquis,
maquettes et la vidéo de son dernier projet à Boulogne. Merci d’être venue dans
notre collège. J’ai changé d’avis sur le métier de paysagiste !
Tanguy.
Carine Musel
travaille depuis 7 ans comme paysagiste et depuis 4 mois comme street artiste.
Cette femme ne gagne pas très bien sa vie mais cela lui convient, même si elle
doit souvent voyager sans sa famille. Elle a fait par hasard les Beaux-Arts !
Elle aime son travail et le fait avec envie,
se moque de ce que les gens pensent. Et, tout ce qu’elle fait, j’ai envie de la
faire aussi !
Merci à vous !
Romane.
Carine Musel nous a
avoué qu’elle n’hésitait pas à travailler en équipe avec d’autres artistes ou
artisans (bijoutiers…). Le paysage reflète sa personnalité. Elle s’inspire des
artistes qui la touchent grâce à leurs œuvres et aux sensations qu’elles
provoquent en elle. Par exemple, elle a été marquée par Lee Bul et son oeuvre Via negativa 2.
Merci à Carine
Musel d’avoir accepté de nous rendre visite au collège Saint-Exupéry !
Emeline.
Inscription à :
Articles (Atom)